NEWSLETTER
Lecture 1 min • Comme une invitation à rêver, à s’émerveiller et à découvrir. Chaque début de mois
Avant de me rendre sur le terrain pour une séance photo, j’essaie d’anticiper mes sorties. Quand il s’agit de ma première fois sur site, j’utilise Google Map pour visualiser le lieu, évaluer la situation, la géographie ainsi que d’analyser le cadrage d’autres photographes.
Je note également les heures de levers et couchers de soleil. L’application TPE ou le site Photo Ephemeris me permet d’avoir, la position du soleil et de la lune à toute heure du jour, facilitant les cadrages spéciaux tout en profitant des meilleurs éclairages possibles. Pour l’astrophotographie, j’utilise www.lightpollutionmap.info pour sélectionner les zones les plus sombres et avoir le moins de pollution lumineuse. Le vent, les heures et coefficients de marées peuvent également être importants.
Evidement les saisons et la météo vont grandement influencer mes séances et comment je compose mes photographies : neige, brume, feuilles et couleurs d’automne, fleurs et période de floraison, avant, pendant ou après la pluie.
L’évolution de la météo les jours précédents est primordiale pour ajuster ma séance, l’avancer, la reporter ou voire pour improviser.
Une fois sur le terrain, une large place est consacrée à l’observation, à l’instinct, à capter l’instant, à ressentir l’atmosphère de la scène, du lieu, du moment. En quelque sorte, se laisser guider par la vibration ou la musicalité du moment et de faire corps avec la scène.
Ensuite, je vais regarder les textures, les motifs, les matières, les lumières, les couleurs, la situation, les lignes directrices, les points d’intérêts, identifier mon sujet, recherche un premier plan, changer d’angle pour composer et cadrer ma photo.
Généralement, je sais quel résultat je cherche à obtenir, je change éventuellement d’objectif et je vais ajuster les paramètres de mon appareil photo (ISO, ouverture, vitesse, exposition, bracketing, timer) et si besoin, utilisation de filtres et/ou du trépied. Je fais souvent plusieurs prises avant de quitter la scène.
Pour maximiser le nombre de clichés sur un temps imparti, par exemple lors d’un lever de soleil, c’est également vrai. Mais cela nécessite de réaliser un repérage avant ou d’arriver sur les lieux plus tôt.
Durant toutes les phases de post-production, je me remets dans l’ambiance de la prise de vue en laissant une place à mon imaginaire et à mes émotions pour rester créatif. La musique que j’écoute, mon état d’esprit aura une influence sur mes choix artistiques. Les techniques ne sont que des outils pour raconter une histoire et l’émotion qu’elle produit en nous.
Lecture 1 min • Comme une invitation à rêver, à s’émerveiller et à découvrir. Chaque début de mois
Lecture 3 min • Mon approche de la photographie partie 2: sélection, retouche et publication
Lecture 2 min • SLAZT – Stéphane LAURENT : Artiste Photographe, ma bio et ma motivation
Voilà, vous savez tout.
N’hésitez pas à laisser un commentaire.
©2015 – 2024 SLAZT. Tous droits réservés
NAVIGATION
MON ESPACE
0 produits dans le panier (0,00 €)